Marilyn Monroe pour toujours

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HISTOIRE

Chicago, 1929, Joe et Jerry, deux musiciens en chômage, assistent à un massacre entre deux bandes rivales de bootleggers. Le chef de la bande, Colombo-les-guêtres, veut éliminer à tout prix ces témoins gênants. Craignant pour leur vie, les deux hommes, travestis en " Daphné " et " Joséphine ", parviennent à se faire engager dans un orchestre féminin au départ d'une tournée pour la Floride.  A Miami, Joe, amoureux de Sugar, la chanteuse de l'orchestre, la séduit en se faisant passer pour un riche oisif; tandis que Jerry, toujours travesti, fait la conquête bien involontaire d'un véritable milliardaire, Osgood Fielding III. Mais une convention de gangsters a lieu à la même période dans la ville, ce qui provoque l'arrivée de Colombo et de sa bande. Joe et Jerry doivent de nouveau se cacher pour se soustraire au désir homicide des gangsters. Par bonheur, Colombo se trouve à son tour occis au cours d'un nouveau règlement de comptes. Ce qui ne résout qu'une partie des problèmes de Joe et Jerry qui ne parviennent plus à se débarrasser de leurs personnalités "féminines"...

COMMENTAIRES

CERTAINS L'AIMENT CHAUD est sans doute, avec SEPT ANS DE RÉFLEXION (1955) du même Billy Wilder, l'un des sommets de la fulgurante carrière de Marilyn Monroe. C'est d'un Autrichien naturalisé Américain, Billy Wilder, que nous devons cette minutieuse reconstitution de l'époque du Jazz-Band, des gangsters et de la prohibition (le qualificatif " chaud " désigne le Jazz " hot ", c'est-à-dire endiablé). Un gangster joue avec une pièce de monnaie devant George Raft qui l'interpelle vertement: " Alors, tu m'imites ? ", subtile allusion à son rôle de Rinaldo dans le SCARFACE de Howard Hawks (1932). La dernière réplique du film contribua pour une bonne part à sa célébrité. Joe E. Brown, amoureux, emmène " Daphné ", alias Jerry toujours travesti, sur son yacht (ce dernier a tenté de décourager les avances du milliardaire par tous les moyens; rien n'y a fait. Alors, en désespoir de cause, il lui annonce froidement : " Mais je suis un homme! " et son interlocuteur, philosophe, réplique: " Bah ! Personne n'est parfait !".

CRITIQUE DE PRESSE

A.H. Weiler dans le New York Post : "En joueuse de ukulélé dépourvue de malice, Miss Monroe dont on ne peut ignorer la plastique, fournit à cette arlequinade plus d'atouts que ceux très réels et tangibles dont la nature l'a dotée. Elle prouve qu'elle est l'inverse d'une blonde fade et, au contraire, une comédienne de talent.

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